En bref

Monsieur ESVAN, Proviseur du Lycée : « Je me sens agréablement bien »

FB : Nous aimerions savoir qui vous êtes ?

M. Esvan : Je suis Eric Esvan, né en 1961, proviseur du Lycée Frédéric Faÿs.

FB : En quoi consiste votre métier ?

M. Esvan : Je suis responsable du lycée, de sa direction, de la sécurité des élèves, des professeurs et du personnel.

FB : Depuis combien de temps faites-vous ce métier?

M.Esvan : Je fais ce métier depuis 1999, donc depuis 16 ans.

FB : Qu’est-ce qui vous a poussé à faire ce métier?

M.Esvan: Ça m’intéresse, car aider et former les enseignants ainsi que les élèves et le personnel contribuent au développement du lycée.

FB : Que faisiez-vous avant?

M. Esvan : Avant j’étais enseignant dans l’académie de Nancy puis en université en Lorraine. J’ai été proviseur adjoint à la Martinière Terreaux, puis principal de collège.

FB : Quelles études avez-vous fait?

M. Esvan : J’ai fait un BAC STI.

FB : Quand avez-vous su que vous alliez faire ce métier?

M. Esvan : J’ai su que j’allais faire ce métier, en terminale, à 18 ans.

FB : De quelle manière êtes-vous arrivé ici?

M. Esvan : J’ai fait un BAC STI, préparation en classe préparatoire, je suis devenu ensuite professeur d’université, militaire puis proviseur adjoint pour finir maintenant proviseur du lycée Faÿs.

FB : Comment trouvez-vous le lycée?

M. Esvan : Je trouve mon lycée formidable avec tous mes sportifs… Attention, quand je dis mon lycée, mes sportifs, c’est pour dire que tant que je suis à cette place, c’est moi qui gère l’ensemble de l’établissement : le personnel, les profs et les élèves.

FB : Comment vous sentez-vous avec vos collègues?

M. Esvan : Je me sens agréablement bien.

FB : Que savez-vous du lycée?

M. Esvan : Le lycée était un hôpital de 1902 à 1947, puis un collège Municipal Technique. Ensuite l’ancien lycée Frédéric Faÿs Professionnel est devenu Professionnel et Technique, pour enfin en 2013 avec les dernières rénovations, donner notre Lycée Frédéric Faÿs, Général, Technologique et Professionnel.

FB : Enfant, vous imaginiez-vous chef d’établissement?

M. Esvan : Non, enfant je ne m’imaginais pas Chef d’établissement.